Nommé en l'honneur du scientifique Dmitri Mendeleïev, qui a conçu le tableau périodique
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Nommé en l'honneur d'Alfred Nobel, qui a inventé la dynamite et fonda prix Nobel
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Nommé en l'honneur d'Ernest Lawrence, inventeur du cyclotron
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Nommé en l'honneur d'Ernest Rutherford
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Le dubnium est le nom donné en référence à Dubna, Institut nucléaire de Dubna, URSS
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Nommé en l'honneur de Glenn Seaborg
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Nommé en l'honneur de Niels Bohr
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Nommé en l'honneur d'Henri Hess
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Nommé en l'honneur de Lise Meitner
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Nommé d'après Darmstadt, la ville allemande où il a été découvert
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Nommé d'après le physicien allemand Wilhelm Conrad Röntgen, découvreur des rayons X
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Nommé d'après Nicolas Copernic
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Provient de la dénomination du Japon en japonais
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Nommé d'après le Laboratoire Flerov de réactions nucléaires
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Nommé d'après l'Oblast de Moscou où est située la ville de Doubna
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Le nom reconnaît le Lawrence Livermore National Laboratory, dans la ville de Livermore, Californie
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Nommé en l'honneur de l'état du Tennessee
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Nommé en l'honneur du physicien nucléaire russe Yuri Oganessian
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L'hydrogène a été découvert en 1766 par Henry Cavendish au cours de ses recherches sur les propriétés des acides. Il a également constaté en 1781 que le gaz formait de l'eau par combustion. Sir H. Davy a reconnu le gaz comme élément. En 1789, le néerlandais A. Paets de Troostwijck est parvenu à préparer de l'hydrogène par électrolyse d'acides dilués et à resynthétiser de l'eau à partir de ce gaz et de l'oxygène produit lors de l'électrolyse.
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En Inde, le 18 aout 1868, l'astronome français Pierre Janssen observe, lors d'une éclipse solaire totale, la lumière provenant de la chromosphère. La même année l'astronome anglais Norman Lockyer observe aussi cette raie jaune de la lumière solaire, l'attribue à un nouvel élément chimique et propose conjointement avec le chimiste Edward Frankland de le baptiser helium. En 1895 le chimiste britannique William Ramsay devient ainsi le premier chimiste à isoler cet élément.
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L'hydroxyde de lithium a été séparé en 1817, par Johann Arfvedson, comme le premier composé de lithium à partir de la pétalite, provenant d'une mine située près de Uto en Suède. Un an plus tard, William Thomas Brande et Sir Humphry Davy ont isolé le métal par électrolyse d'oxyde de lithium (Li<sub>2</sub>O) en fusion. On a obtenu du lithium en grandes quantités par électrolyse du chlorure de lithium (LiCl) en fusion à une température de 610 °C.
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Le béryllium aurait été découvert par Louis-Nicolas Vauquelin, en 1798, sous forme d'oxyde (BeO) dans le béryl et dans les émeraudes. Il a découvert des propriétés différentes de celles des oxydes des éléments déjà connus. Friedrich Wöhler et Antoine Bussy l'isolèrent indépendamment en 1828 en faisant réagir du potassium sur du chlorure de béryllium.
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En 1808, J.-L. Gay-Lussac et L. J. Thénard sont parvenus à préparer du bore élémentaire sous une forme très impure par réduction d'acide borique avec du potassium. La même année, Sir H. Davy a réussi à préparer du bore par électrolyse d'acide borique. Ils n'identifièrent toutefois pas la substance comme un élément; ce fut fait par Jöns Jacob Berzélius en 1824.
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Le carbone est connu depuis la préhistoire sa forme la plus simple constituée de fines particules noirâtres issues des combustions incomplètes de matériaux organiques tels que le bois, la paille, la bouse séchée ou encore l'huile. Il fallu cependant attendre 1789 pour que Lavoisier propose de le reconnaître comme un un élément chimique. En 1772 ce dernier a montré, en analysant leur combustion, que les diamants sont composés de carbone.
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L'azote a été isolé de l'air en 1772 par Daniel Rutherford. Rutherford ne considérait pas l'azote comme un élément, mais comme de 'l'air riche en phlogiston'. Ce n'est qu'en 1840 après la découverte de la théorie de la combustion par A. L. de Lavoisier que l'on a considéré l'azote comme étant un élément séparé. Au cours de la même période, l'azote a été isolé d'une manière identique par Carl Wilhelm Scheele, par Henry Cavendish et par Joseph Priestley.
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En 1973, le chimiste suédois Carl Scheele découvre un nouveau gaz qu'il obtient en chauffant de l'oxyde de mercure. En 1974, Joseph Priestley, sans avoir connaissance des travaux de Scheele, effectue une expérience analogue et nomme le gaz qu'il obtient 'air déphlogistiqué'. En 1775, Antoine Laurent de Lavoisier montre un que le gaz découvert par Priestley représente un cinquième du volume total de l'air et qu'il permet la respiration des êtres vivant.
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La premier composé connu du fluor est la fluorine, une roche utilisée en métallurgie décrite en 1530 par le savant allemand Georgius Agricola. À cause de sa nature extrêmement réactive, le fluor ne fut isolé que tardivement, bien que des chimistes de renom comme Lavoisier, Davy, Gay-Lussac ou Thénard aient étudié certains de ses composés. Henri Moissan parvint à isoler du fluor sous forme de difluor en 1886, ce qui lui valut le prix Nobel de chimie en 1906.
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Le néon a été découvert en 1898 par le chimiste britannique William Ramsay et son assistant Morris Travers. Après sa découvert de l'argon William Ramsay soupçonnait l'existence d'élements de la même famille qui sont également inertes chimiquement et donc très difficiles à détecter. Il profita du procédé Linde-Hampson de liquéfaction des gaz, récemment mis au point, pour liquéfier de l'air et lui fair subir une distillation qui lui permit de découvrir le néon.
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Des composés à base de sodium sont connus depuis l'antiquité, le sel alimentaire est par exemple constitué de chlorure de sodium. Les égyptiens utilisaient des carbonates de sodium obtenus par évaporation de l'eau de lacs salés. En 1807 Le chimiste britannique Humphry davy utilise des sels secs de soude qu'il porte à haute température et une fois liquide il leur fait subir une électrolyse qui lui permet d'obtenir une substance métallique très réactive qu'il nomme sodium.
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La magnésium est connue depuis l'antiquité. En Angleterre, Joseph Black reconnut le magnésium comme un élément en 1755. Sir Humphry Davy isola la forme métallique pure par électrolyse en 1808 à partir d'un mélange de magnésie et d'oxyde de mercure. En 1831 le chimiste français Antoine Alexandre Brutus Bussy mis au point une méthode qui permet d'obtenir du magnésium pur.
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En 1807 le chimiste britannique Humphry davy analyse la composition de minéraux d'alun et y soupçonne la présence d'un métal encore inconnu qu'il baptise dans un premier temps alumium puis aluminum. En 1825 le chimiste Danois Hans Christian Orsted parvient à obtenir de l'aluminium métallique en faisant réagir du chlorure d'aluminium avec un amalgame de mercure et de potassium, le résultat n'est cependant pas un métal totalement pur. En 1827 Friedrich Whöler parvient à obtenir de l'aluminium pur.
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Le silicium a d'abord été identifié par Antoine Lavoisier en 1787. En 1811 Joseph Louis Gay-Lussac tenta de l'isoler en faisant réagir du tetrafluorure de silicium avec du potassium mais ne parvinrent pas à purifier de manière satisfaisant le produit obtenu. En 1824 Jons Jakob Berzelius utilisa la même méthode et obtint cette fois du silicium qu'il réussit à purifier.
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Le phosphore a été découvert en 1669 par l'alchimiste allemand Hennig Brandt. Brandt l'obtenait en réduisant des sels d'urine par le charbon. En 1769, le suédois Johan Gottlieb Gahn découvrit que le phosphore était présent dans la poudre d'os calcinée puis décomposée par l'acide sulfurique. La méthode de synthèse actuelle a été mise au point en 1867 par les chimistes E. Aubertin et L. Boblique.
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Le soufre dans son état natif ainsi que certains de ses composés sont connus depuis l'antiquité. Les premiers alchimistes ont donné au soufre son propre symbole alchimique qui était un triangle au-dessus d'une croix. En 1777, Antoine Lavoisier proposa à la communauté scientifique de considérer que le soufre était un élément et non pas un composé. En 1781, l'élément chimique soufre fut détecté dans certaines plantes par N. Deyeux.
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Certains composés du chlore sont connus depuis l'antiquité. Le dichlore fut découvert en 1774 par le chimiste Carl Wilhelm Scheele, en versant quelques gouttes d'acide chlorhydrique sur du dioxyde de manganèse. Scheele pensait à tort qu'il contenait de l'oxygène. C'est en 1810 que Humphry Davy lui attribua le nom de chlore, en insistant sur le fait que c'était en fait un élément chimique bien distinct.
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En 1785 le physicien britannique Henry Cavendish est le premier à soupçonner que l'air renferme un gaz encore inconnu. La découverte officielle de l'argon est attribuée aux physicien et chimiste britanniques William Ramsay et John William Rayleigh. En 1894 ils distillent de l'air liquéfié mais après avoir éliminé le dioxygène et le diazote il subsite un dernier gaz constitué d'un élément qu'ils baptisent Argon.
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Certains de ses composés, comme la potasse, sont connus et utilisés depuis l'antiquité. Le potassium a été découvert en 1807 par Sir Humphry Davy, qui l'obtient par électrolyse d'hydroxyde de potassium. C'est d'ailleurs le premier métal isolé par électrolyse. C'est aussi Davy qui forge le mot potassium.
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Certains de ses composés tels que le calcaire, la chaux, le gypse sont connus depuis l'antiquité. La chaux était préparée par les Romains dès le ier siècle, mais ce n'est qu'en 1808 que le calcium fut découvert. En apprenant que Jöns Jacob Berzelius et Magnus Martin Pontin avaient préparé un amalgame de calcium par électrolyse de la chaux dans du mercure, Humphry Davy fut capable d'isoler le métal impur.
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Le scandium a été découvert par Lars Fredrik Nilson en 1879 lorsque lui et son équipe recherchaient des terres rares. Nilson mit en évidence le nouvel élément par analyse spectrale faite à partir de minerai d'euxénite et de gadolinite. Du scandium métallique pur est isolé pour la première en 1937, grâce à l'électrolyse d'un mélange de potassium, de lithium et de chlorure de scandium fondus.
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Le titane a été découvert par le révérend William Gregor en 1791, minéralogiste et pasteur britannique. En analysant des sables de la rivière Helford dans la vallée de Menachan en Cornouailles, il isola ce qu'il nomma du sable noir, connu aujourd'hui sous le nom d'ilménite. En 1795, Martin Heinrich Klaproth, professeur de chimie analytique à l'université de Berlin, identifia le même métal.
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Le vanadium a été découvert par Andrés Manuel del Río, un minéralogiste espagnol, à Mexico en 1801. Le chimiste français Hippolyte-Victor Collet-Descotils déclara alors que le nouvel élément de del Rio n'était que du chrome impur. En 1831, un suédois du nom de Nils Gabriel Sefström, redécouvrit le vanadium dans de nouveaux oxydes qu'il trouva en travaillant sur des minerais de fer. Plus tard la même année, Friedrich Wöhler confirma les travaux de del Rio.
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En 1761, Johann Gottlob Lehmann trouva un minerai rouge-orange dans les montagnes de l'Oural, qu'il nomma plomb rouge de Sibérie. En 1797 le chimiste français Louis Nicolas Vauquelin reçoit des échantillons de crocoite qu'il fait réagir avec de l'acide chlorhydrique, il obtient alors de l'oxyde de chrome. En chauffant cet oxyde en présence de charbon il réussit à obtenir du chrome métallique.
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L'oxyde de manganèse est connu depuis la préhistoire, il était utilisé comme pigment noir pour les peintures rupestres. En 1774 le chimiste suédois Carl Wilhelm Scheele présente les résultats de plusieurs années d'études consacrées en partie à la pyrosulite, il y annonce que celle-ci comporte un élément encore inconnu. La même année il fait parvenir un échantillon de pyrolusite purifiée à son collègue Johan Gottlieb Gahn qui parvient à réduire l'oxyde de manganèse et obtient pour la première fois du manganèse métallique pur.
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Le fer est extrêment rare à l'état natif, il est donc probable que le fer exploité dès la préhistoire soit d'origine météoritique. Les Hittites, qui sont l'un des premiers peuples à l'avoir utilisé en fabriquaient de manière certaine à partir de minerai depuis au moins 1500 av. J.-C. On a longtemps pensé que le fer était apparu dans l'actuelle Turquie, mais il est possible que sa fabrication ait son origine en Inde ou en Afrique orientale, car des découvertes d'objets en fer extrêmement anciens ont été réalisées dans ces régions.
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Des composés de cobalt sont utilisés depuis l'antiquité pour colorer le verre d'un bleu intense. En 1735, le chimiste suédois Georg Brandt extrait de ce minerai un semi-métal nouveau qu'il nomme cobalt. En 1745, il démontre que le cobalt est la cause de la couleur bleue que le minerai de cobalt communique aux verres, alors que l'on attribuait précédemment celle-ci soit au bismuth, soit au fer et à l'arsenic.
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L'utilisation du nickel est très ancienne, attestée jusque 3500 av. J.-C. Des bronzes trouvés en Syrie possèdent une teneur en nickel jusqu'à 2 %. D'anciens manuscrits chinois suggèrent que le cuivre blanc était utilisé en Chine entre le xviiie siècle av. J.-C. et le xve siècle av. J.-C. En 1751, le baron Axel Frederik Cronstedt essaya d'extraire du cuivre de ce Kupfernickel, cuivre du diable, et obtint à la place un métal blanc qu'il appela nickel.
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Le cuivre métallique est utilisé depuis la préhistoire, il est l'un des rare métaux présent dans la nature sous forme native et pouvait donc être exploité directement après son extraction sans traitement chimique ou physique. Les premiers indices d'utilisation du cuivre datent de 10 000 ans. La malachite est connue depuis l'antiquité et servait non seulement de minerai de cuivre, mais également de colorant vert.
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Connu depuis l'antiquité pour la fabrication d'alliage, le zinc ne semble pas avoir été clairement identifié en tant que tel par les anciens. Il semble n'avoir été produit en tant que zinc qu'au xive siècle, en Inde. Il était connu des alchimistes du xvie siècle, notamment Paracelse. L'un des premiers rapports modernes redécouvrant sa préparation est celui d'Andreas Sigismund Marggraf en 1746.
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Le gallium n'a été découvert qu'en 1875 par le chimiste français Paul Emile Lecoq de Boisbaudran grâce à l'analyse spectroscopique d'un minerai de zinc provenant des Pyrénées. Le spectre obtenu comportait une raie violette qui ne pouvait être attribuée à aucun élément connu à l'époque. La même année Paul Emile Lecoq de Boisbaudran extrait du chlorure de gallium qu'il réduit par electrolyse pour obtenir la forme métallique pure du gallium.
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Le germanium a été découvert en 1886 par Clemens Winkler dans l'argyrodite originaire d'une mine située en Saxe. L'existence de l'élément avec la description de ses propriétés a été extrapolée par Mendeleïev en 1871. Ce dernier avait donné à l'élément le nom ékasilicium.
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